Résultats de l'Aide au film court / 1ère session 2017
AVRIL 2017
Résultats de la dernière commission
de l'aide au film court en Seine-Saint-Denis
L’Aide au film court est le dispositif de soutien à la création de films de court métrage du Département de la Seine-Saint-Denis, coordonné par l'association Cinémas 93. Il est financé avec le soutien du CNC. L'aide à la production intervient après tournage. Les commissions se prononcent sur visionnement d’un premier montage image. Depuis sa création en 2005, l’Aide au film court a soutenu 108 films de courts métrages, tous genres confondus, pour des montants financiers compris entre 5 000 et 20 000 euros.
Les cinq films suivants ont reçu un avis favorable de la commission plénière de l’Aide au film court. Ils seront proposés pour un soutien financier au vote de la Commission permanente du Département de la Seine-Saint-Denis.
Déter
de Vincent Weber
Les idiots – 36 min – fiction
Suite à une rupture, Daniel, 21 ans, décide de passer ses vacances seul, dans l’appartement de sa tante. Au bord de la mer, il va tenter de conquérir son bonheur. Daniel est déter.
Hanne et la fête nationale
de Guillaume Brac
Bathysphère – 35 min – fiction
Le 14 juillet à Paris. Hanne, une étudiante norvégienne sur le point de rentrer chez elle, se trouve soudainement aux prises avec trois hommes. Un étudiant italien. Un Parisien des beaux quartiers. Et un jeune pompier. A la suite d’un concours de circonstances, tous les quatre passent la soirée ensemble à la Cité Universitaire.
Le Mafatais
d'Olivier Carrette
Acis Productions – 53 min – fiction
Le cirque de Mafate, le cœur sauvage de l'île de la Réunion. C’est ici que vit le Mafatais, à l'écart de tout. Un jour, il reçoit la visite d'une jeune fille qui l'emmène au chevet d'un garçon malade. Il prie mais l'enfant meurt, et les voisins l'ont vu cette nuit-là...
Mama Bobo
de Robin Andelfinger et Ibrahima Seydi
Wombat Films – 15 min – fiction
Mama Bobo, 80 ans, s’assoit chaque matin à l’abribus de la rue Gomis. Elle ne monte jamais dans aucun bus mais elle imagine que chaque jour, elle rejoint son mari au marché. Un matin, son abribus a disparu.
Ouessant
d’Eléonore Saintagnan
Mains d'oeuvres – 20 min – essai
Je séjourne sur l’île d’Ouessant, au large du Finistère. Là-bas, j’occupe le sémaphore du Créac’h reconverti en résidence d’artistes. Je m’imagine ce qu’aurait pu être ma vie ici, à une époque où les hommes vivaient en mer sur des bateaux de pêche et où seules les femmes restaient sur l’île avec les moutons.